Manifestations Maubeuge – Lille – 5 mars 2013

Posté par pcfmaubeuge le 2 mars 2013

Manifestations Maubeuge - Lille - 5 mars 2013 dans EMPLOI 1_cellule-de-maubeuge_pcflogo1 dans ENTREPRISES

Le 5 mars à l’occasion de la grève nationale CGT/FO/SUD/FSU
contre l’accord flexibilité du travail,
rassemblement à Maubeuge, 11h,
devant la chambre patronale, avenue de Ferrière la Grande.

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Tous à la Manif régionale Lille

Mardi 5 Mars 14 h30 Porte de Paris

Le Sénat à adopté notre proposition de loi d’amnistie ce 27 février.

La lutte et la mobilisation paient !

Nous devons continuer à agir et à être auprès du monde du travail et des gens qui souffrent actuellement.

NON A L’AUSTÉRITÉ !
NON à l’accord Emploi/Compétitivité.
Les députés ne doivent pas voter la loi du MEDEF

ÊTRE UNIS ET FORTS, agir de manière collective, s’organiser, contester et porter d’autres solutions.

OUI, c’est le rôle de notre parti, de tous ses élus, de tous ses responsables départementaux et de sections.

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Contre l’austérité… Emploi, salaires, pouvoir d’achat… ça urge !

Posté par pcfmaubeuge le 26 février 2013

Contre l'austérité... Emploi, salaires, pouvoir d'achat... ça urge ! dans EMPLOI emploi-salaires

Tract à télécharger  fichier pdf aust-C3-A9rit-C3-A9_pcf_fevr.2013

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Droits de l’Homme – Amnistie sociale

Posté par pcfmaubeuge le 26 février 2013

Déclaration des sénateurs communistes.

Ni des délinquants ni des criminels !

Amnistie sociale

Par le groupe CRC / 22 février 2013

Depuis des temps très anciens mais surtout depuis la constitution de 1875 l’amnistie est dans notre droit. Jusqu’en 2002, à chaque élection présidentielle, une loi d’amnistie était présentée au parlement. Sans aucun débat, Nicolas Sarkozy a mis fin à cette tradition républicaine.

Avec notre proposition de loi qui sera débattue au Sénat le 27 février prochain. nous avons voulu amnistier les infractions commises lors de conflits du travail, à l’occasion d’activités syndicales ou revendicatives dans l’entreprise et/ou au cours de manifestations sur la voie publique ou dans des lieux publics.

Lire la suite… »

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Appel Manif Lille Mardi 5 mars

Posté par pcfmaubeuge le 25 février 2013

Appel Manif Lille Mardi 5 mars dans CHOMAGE affiche-5-mars

Les députés ne doivent pas voter la loi du MEDEF

NON à l’accord Emploi/Compétitivité

Manif régionale Lille Mardi 5 Mars 14 h30 Porte de Paris

L’accord national interprofessionnel (ANI) conclu le 11 janvier entre le Medef, la Cfdt et certains autres syndicats, représentant une minorité de salariés a été retranscrit en un projet de loi qui va être débattu au parlement début mars.

Avec cet accord, le patronat gagne encore un pas dans son entreprise de casse du code du travail en droite ligne du mouvement déjà engagé vers un affaiblissement des protections salariales. Les nouveaux droits accordés se révèlent le plus souvent être en trompe-l’œil. Des parlementaires de gauche ne peuvent accepter d’avaliser un tel recul social.

Nous appelons donc l’ensemble de nos adhérents, de nos sympathisants à participer massivement à la manifestation régionale à Lille et aux rassemblements et manifestations organisées localement, à multiplier les initiatives pour informer, dénoncer le contenu de cet accord et faire connaître nos propositions.

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Non à l’accord du Medef ! Signez la pétition

Posté par pcfmaubeuge le 25 février 2013

Non à l’accord du Medef ! Signez la pétition

(Appel unitaire)

http://www.france.attac.org/petition/un-ani-qui-nous-veut-du-mal

L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier, ou « accord emploi », signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur. Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail, chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.

L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problème conjoncturels et surtout qui en jugera ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l’augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).

Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d’obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l’accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l’emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi. De même, à l’heure où près du quart des actifs de moins de 25 ans est au chômage, ces accords risquent de fragiliser les conditions d’emploi des jeunes. Que ce soit par la faiblesse de leur ancienneté dans l’entreprise, ou bien parce qu’on estimerait qu’un jeune a « toute sa vie devant lui », en l’absence de vraies mesures contre les contrats précaires qui les touchent massivement, les jeunes risquent de payer le prix du chantage à la mobilité et de l’assouplissement des licenciements.

Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter ses dispositions telles quelles, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.

Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyen-ne-s à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L’heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.

Appel soutenu par : Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, CGT-Finances, CNDF, CNT-Solidarité ouvrière Ile-de-France, Convergence de défense et développement des services publics, Convergences & Alternative, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fondation Copernic, FSU, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes contre le chômage, Mouvement des jeunes communistes de France, Mouvement national des chômeurs et précaires, Nouveau parti anticapitaliste, Osez le féminisme !, Parti communiste français, Parti communiste des ouvriers de France, Parti de gauche, Réseau féministe « Ruptures », Résistance sociale, République & Socialisme, UNEF, Union syndicale Solidaires…

Signez la pétition ! http://www.france.attac.org/petition/un-ani-qui-nous-veut-du-mal

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Proposition de Loi pour la défense de la langue française

Posté par pcfmaubeuge le 23 février 2013

Proposition de loi déposée par le député communiste Jean Jacques Candelier

concernant la défense de la langue de la République,

c’est-à-dire le français.

Proposition de Loi pour la défense de la langue française dans CHANGER LA SOCIETE langue-francaise

Télécharger la proposition de loi  fichier pdf Francais

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Voir également

La langue française en danger !

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Mobilisation du 5 mars : Le MJCF répond à l’appel !

Posté par pcfmaubeuge le 22 février 2013

MJC

Mobilisation du 5 mars : Le MJCF répond à l'appel !Mobilisation du 5 mars :

Le MJCF répond à l’appel !

le 21 février 2013

Le MJCF et son secrétaire général Nordine Idir se sont joints à la liste déjà longue d’associations, syndicats, partis politiques et citoyen-ne-s, à avoir lancé un appel afin que l’accord national interprofessionnel (ANI) signé le 11 janvier 2013 par le patronat et trois syndicats ne soit pas transcrit dans la loi.

Cet accord illégitime constitue, en effet, un recul social majeur, qui ne fera qu’aggraver la précarité du travail. Nous appelons les parlementaires à refuser de se faire les scribes d’un patronat-voyou qui n’a que le profit en ligne de mire et le chomage et la précarité pour la majorité d’entre nous. Nous nous étions déjà mobilisés contre le Contrat Premier Embauche en 2006 qui constituait une liquidation masquée du CDI, et institutionnalisait la précarité. Comment alors faire le moindre projet, louer un logement, si on risque d’être jetés du jour au lendemain ? Laurence Parisot s’était d’ailleurs illustrée en disant : « La vie est précaire, l’amour est précaire, pourquoi le travail ne serait pas précaire ? » Alors qu’elle redouble d’offensives, nous ne comptons pas restés les bras croisés !  [...]

Publié dans EMPLOI, ENTREPRISES, JEUNES, LEGISLATION, NATIONALE, POLITIQUE, PRESSE MEDIA, RENDEZ-VOUS, SYNDICATS | Pas de Commentaire »

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