Appel Manif Lille Mardi 5 mars

Posté par pcfmaubeuge le 25 février 2013

Appel Manif Lille Mardi 5 mars dans CHOMAGE affiche-5-mars

Les députés ne doivent pas voter la loi du MEDEF

NON à l’accord Emploi/Compétitivité

Manif régionale Lille Mardi 5 Mars 14 h30 Porte de Paris

L’accord national interprofessionnel (ANI) conclu le 11 janvier entre le Medef, la Cfdt et certains autres syndicats, représentant une minorité de salariés a été retranscrit en un projet de loi qui va être débattu au parlement début mars.

Avec cet accord, le patronat gagne encore un pas dans son entreprise de casse du code du travail en droite ligne du mouvement déjà engagé vers un affaiblissement des protections salariales. Les nouveaux droits accordés se révèlent le plus souvent être en trompe-l’œil. Des parlementaires de gauche ne peuvent accepter d’avaliser un tel recul social.

Nous appelons donc l’ensemble de nos adhérents, de nos sympathisants à participer massivement à la manifestation régionale à Lille et aux rassemblements et manifestations organisées localement, à multiplier les initiatives pour informer, dénoncer le contenu de cet accord et faire connaître nos propositions.

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Non à l’accord du Medef ! Signez la pétition

Posté par pcfmaubeuge le 25 février 2013

Non à l’accord du Medef ! Signez la pétition

(Appel unitaire)

http://www.france.attac.org/petition/un-ani-qui-nous-veut-du-mal

L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier, ou « accord emploi », signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur. Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail, chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.

L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problème conjoncturels et surtout qui en jugera ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l’augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).

Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d’obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l’accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l’emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi. De même, à l’heure où près du quart des actifs de moins de 25 ans est au chômage, ces accords risquent de fragiliser les conditions d’emploi des jeunes. Que ce soit par la faiblesse de leur ancienneté dans l’entreprise, ou bien parce qu’on estimerait qu’un jeune a « toute sa vie devant lui », en l’absence de vraies mesures contre les contrats précaires qui les touchent massivement, les jeunes risquent de payer le prix du chantage à la mobilité et de l’assouplissement des licenciements.

Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter ses dispositions telles quelles, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.

Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyen-ne-s à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L’heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.

Appel soutenu par : Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, CGT-Finances, CNDF, CNT-Solidarité ouvrière Ile-de-France, Convergence de défense et développement des services publics, Convergences & Alternative, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fondation Copernic, FSU, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes contre le chômage, Mouvement des jeunes communistes de France, Mouvement national des chômeurs et précaires, Nouveau parti anticapitaliste, Osez le féminisme !, Parti communiste français, Parti communiste des ouvriers de France, Parti de gauche, Réseau féministe « Ruptures », Résistance sociale, République & Socialisme, UNEF, Union syndicale Solidaires…

Signez la pétition ! http://www.france.attac.org/petition/un-ani-qui-nous-veut-du-mal

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Mobilisation du 5 mars : Le MJCF répond à l’appel !

Posté par pcfmaubeuge le 22 février 2013

MJC

Mobilisation du 5 mars : Le MJCF répond à l'appel !Mobilisation du 5 mars :

Le MJCF répond à l’appel !

le 21 février 2013

Le MJCF et son secrétaire général Nordine Idir se sont joints à la liste déjà longue d’associations, syndicats, partis politiques et citoyen-ne-s, à avoir lancé un appel afin que l’accord national interprofessionnel (ANI) signé le 11 janvier 2013 par le patronat et trois syndicats ne soit pas transcrit dans la loi.

Cet accord illégitime constitue, en effet, un recul social majeur, qui ne fera qu’aggraver la précarité du travail. Nous appelons les parlementaires à refuser de se faire les scribes d’un patronat-voyou qui n’a que le profit en ligne de mire et le chomage et la précarité pour la majorité d’entre nous. Nous nous étions déjà mobilisés contre le Contrat Premier Embauche en 2006 qui constituait une liquidation masquée du CDI, et institutionnalisait la précarité. Comment alors faire le moindre projet, louer un logement, si on risque d’être jetés du jour au lendemain ? Laurence Parisot s’était d’ailleurs illustrée en disant : « La vie est précaire, l’amour est précaire, pourquoi le travail ne serait pas précaire ? » Alors qu’elle redouble d’offensives, nous ne comptons pas restés les bras croisés !  [...]

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L’ÉCOLE MÉRITE MIEUX QUE CELA !

Posté par pcfmaubeuge le 21 février 2013

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L’ÉCOLE MÉRITE MIEUX QUE CELA !

 

 

Après une concertation en trompe-l’œil,

un passage en force ministériel !

Le Conseil Supérieur de l’Education qui regroupe principalement des représentants des organisations syndicales enseignantes et des parents d’élèves a rejeté le décret sur les rythmes scolaires. Le Ministre passe donc en force et au lieu de prendre le temps de la concertation que demandent les personnels et nombre de collectivités, il essaye de forcer la main aux communes en leur faisant miroiter une aide financière pour celles qui choisiront d’appliquer en urgence la réforme en 2013. Les professeurs des écoles parisiens se sont mobilisés contre cette pseudo réforme au mois de janvier. Le mouvement

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Culture commune contre école à la carte

Cette réforme des rythmes scolaires détourne d’un travail sur les contenus, les pratiques et les conditions d’apprentissage, là où se fabrique l’échec scolaire. L’urgence politique est à la construction d’une école de la réussite pour tous : elle doit viser non pas à moins d’école mais à plus et mieux d’école, à l’accès de tous à une culture commune de haut niveau, sous peine d’aggraver encore les inégalités.

Ni socle commun, ni externalisation ! Pour une école vraiment commune, les missions du scolaire et du périscolaire doivent être clairement définies, dans le respect du rôle de chacun.

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Ni marchandisation, ni individualisation

En rejetant dans le temps périscolaire des activités et des apprentissages, l’école publique sera dépendante de la volonté et des moyens des collectivités locales. C’est la porte ouverte à une marchandisation de l’éducation et à une remise en cause du caractère national de l’école.

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Égalité républicaine : non à l’acte III de la décentralisation !

La réforme Peillon est à la charge des communes, alors même que les moyens alloués aux écoles par les communes varient encore de un à dix !

L’acte III de la décentralisation, en préparation, remet en cause le principe de l’égalité républicaine.

Sur fond de politique d’austérité, le gouvernement veut imposer une territorialisation de l’école qui aggrave les disparités au lieu de les corriger.

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Annick MATTIGHELLO

Maire de Louvroil, Conseillère Régionale

Intervient auprès du recteur de l’académie de Lille

clic sur l’image

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Maubeuge – lycée Lurçat – DGC

Posté par pcfmaubeuge le 12 février 2013

Maubeuge - lycée Lurçat - DGC dans EDUCATION NATIONALE eric-bocquet-_-vincent-peilon

Lettre à télécharger   fichier pdf Vincent Peillon DCG lyc-e Lur-at Maubeuge

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Voir aussi

Maubeuge : suppression d’une formation de haut niveau au lycée Lurçat !

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Maubeuge : suppression d’une formation de haut niveau au lycée Lurçat !

Posté par pcfmaubeuge le 4 février 2013

Suppression brutale et inacceptable d’une formation de haut niveau au lycée Lurçat à Maubeuge…

Un mauvais coup que les communistes et leurs élus en Sambre ont bien l’intention de remettre en cause.

Article paru dans l’Humanité de ce jour.

Maubeuge :  suppression d'une formation de haut niveau au lycée Lurçat ! dans AGGLOMERATION tout-ca-ne-vaut-pas-une-classe-prepa-a-maubeuge-227x300
Clic sur l’image ou à télécharge
r
fichier pdf Lur-at f-v 2013

la-retraite-par-capitalisation-fout-en-7471411 dans EDUCATION NATIONALE

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Vous pouvez faire parvenir au recteur de l’académie de Lille un message de protestation exigeant l’annulation de cette suppression. L’adresse internet du recteur : cabinetdurecteur@ac-lille.fr

Alain Groisne

Modèle de texte à envoyer au recteur

Monsieur le Recteur.

La décision prise tout récemment par le Rectorat de supprimer une formation de préparation d’un diplôme  de comptabilité générale au lycée Lurçat de Maubeuge est aussi brutale qu’inacceptable.

Cette décision est particulièrement injuste car elle ne permet même pas aux étudiants concernés de terminer leur formation à Maubeuge. Ce mauvais coup est ressenti par beaucoup comme une volonté délibérée de briser une région particulièrement touchée par le chômage.

Elle est d’autant plus incompréhensible et critiquable qu’un pôle universitaire est censé être créé à Maubeuge. Je vous demande donc de revoir votre décision et d’annuler cette suppression.

Cordialement.

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Voir aussi

Education nationale – DCG du Lycée Lurçat

Le Val de Sambre a le droit à des formations supérieures de qualité !

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Fonction publique – mobilisation

Posté par pcfmaubeuge le 1 février 2013

Le PCF soutient la mobilisation des personnels de la Fonction publiqueLa manif Fonction publique en photos

Le PCF soutient les mobilisations des personnels de la Fonction publique ce 31 janvier. 1 million de personnes payées au SMIC et 4 ans de gel du point d’indice. Cela suffit ! Cessons cette politique de non remplacement des départs en retraite qui se poursuit dans de nombreux secteurs de la Fonction publique, ainsi que le gel du montant de la dotation publique de l’État aux collectivités, victimes d’un transfert de compétences sans compensation intégrale sous le précédent gouvernement.

Cette politique dégrade les conditions de travail des agents et la qualité du service public : il faut en finir avec la politique d’austérité qui se traduit par le développement de la précarité par le recours à l’externalisation, à l’intérim, aux contrats précaires ou par délégations de service public à des entreprises privées.

L’argent existe pour financer une toute autre politique. Pas moins de 50 milliards servent à payer les intérêts de la dette et 20 milliards viennent d’être accordés au patronat au titre du pacte de compétitivité. Cet argent doit servir à satisfaire les besoins sociaux et écologiques, pas à se
soumettre aux marchés financiers et au hold up des banques sur l’argent public. Le gouvernement doit entendre les revendications des fonctionnaires qui sont porteuses d’intérêt général. De nombreux élu-e-s et militant-e-s du PCF et du Front de gauche participeront aux manifestations.

Parti communiste français
Paris, le 31 janvier 2013.

La manif Fonction publique en photos

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